Îles se pourraient
Rêverie féringienne
On verra. On prendra les choses comme elles viennent. Elles viendront du ciel ou de la mer, du coeur ou des tripes, troquant en un souffle l'emportement des uns pour la chaleur des autres. Au détour d'un instant les nuages se bardent d'arc-en-ciels, la houle se fait berceuse, l'inconnu devient hôte. Et par-delà cette porte sans sonnette, les peut-êtres deviennent présents.